Comment choisir le trépied idéal pour vos photos ou vidéos ? Quels sont les critères importants à bien regarder ? Dans ce guide complet je vous partage tous mes conseils pour vous aider à choisir le trépied adapté à vos besoins
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Aujourd'hui nous allons parler d’un accessoire photo qui fait souvent partie des premiers qu’on souhaite acheter après son appareil et ses objectifs, c’est le trépied.
Pour la petite histoire, quand j’ai commencé la photographie, je pensais avoir fait une bonne affaire en achetant ce petit trépied en aluminium.
Mon premier trépied
Je m’étais dit super je vais pouvoir faire de belles photos avec. En fait c’était sans doute une des plus grosses erreurs que j’ai faites.
Car au final, j’ai été très déçu de mon achat et il est rapidement resté au placard (pas solide, bouge beaucoup, pas pratique avec les jambes reliées entre elles, ...).
Pour ne pas vivre cette même mésaventure vous aussi, je vais vous expliquer tout d’abord pourquoi utiliser un trépied.
Même s’il n’est pas nécessaire tout le temps pour prendre ses photos, il y a de nombreuses situations où il est plus que recommandé voire indispensable.
Nous verrons donc les avantages mais aussi les inconvénients d’un trépied.
Puis je vous donnerai les points importants à regarder pour le choix du trépied adapté à vos besoins.
Et en bonus, je vous présenterai différents modèles de trépied que j’utilise, ce qui vous donnera certainement des idées pour choisir le vôtre.
Alors pourquoi et dans quels cas utiliser un trépied ?
Le rôle principal d’un trépied c’est d’apporter de la stabilité lors de la prise de ses photos.
Cette stabilité permettra d’obtenir des photos de meilleure qualité avec une meilleure netteté et ainsi d’éviter par exemple le flou de bougé lors de prise à main levée.
Cela peut éviter également de monter trop en ISO et ainsi de réduire la qualité de la photo.
Personnellement, quand je souhaite faire une belle photo de paysage, je préfère la réaliser sur un trépied plutôt qu’à main levée afin d’obtenir la meilleure qualité possible.
Photo de paysage
Mais un trépied permet aussi de prendre des photos avec une vitesse d’obturation très lente, que ce soit pour créer des effets sur des objets en mouvement ou encore dans des conditions de faible luminosité.
C’est le cas par exemple pour les photos de longues expositions en bord de mer ou encore de cascades, mais aussi les photos de nuit, des étoiles ou encore du light painting.
Longue exposition de cascade
Photo de nuit
Photo de light painting
Le trépied est aussi très utile pour soulager le photographe qui utilise des objectifs assez lourds.
C’est le cas des photographes animaliers ou encore sportifs dont les objectifs peuvent peser plusieurs kilos, ce qui peut vite devenir pénible à tenir à bout de bras et risque de créer du flou de bougé.
Photo animalière
Photo sportive
On pourra utiliser également un trépied pour faire de la photo en studio, comme dans mon cas pour la photo de produit où on cherchera à verrouiller et peaufiner son cadrage et sa composition pendant tout un shooting.
Photo de produit
Autre exemple très pratique d’un trépied, c’est lorsqu’on souhaite réaliser un auto portrait.
Photo auto portrait
On peut alors simplement fixer son appareil photo sur le trépied et déclencher à distance avec une télécommande.
Si vous êtes fan de macro photographie, vous avez dû remarquer comment la mise au point est un sujet très sensible. Celle-ci doit se faire avec précision et là aussi un trépied peut grandement vous aider et vous pourrez aussi l’utiliser pour réaliser des techniques de focus stacking.
Photo macrophotographie
Il peut être parfois compliqué d’obtenir une composition particulière à main levée et là aussi un trépied permet d’effectuer des photos avec un point de vue difficile. C’est par exemple le cas de la photo d’architecture.
Photo architecture
Enfin, dernier exemple où un trépied sera très utile, c’est pour réaliser des vidéos. Que ça soit pour des plans statiques où on souhaitera une image bien fixe sans vibrations, ou encore pour des plans en mouvement où on recherchera une fluidité, le trépied sera l’accessoire idéal.
D’ailleurs pour réaliser les vidéos de ma chaîne Youtube, mon appareil photo est bien entendu fixé sur un trépied vidéo que je vous présenterai tout à l’heure.
J'enregistre mes vidéos avec un trépied vidéo
Avant d’aborder les inconvénients d’un trépied, je vais vous présenter rapidement les différents éléments qui le composent. On les retrouve en général sur les différents types de trépied et il est important de connaître les termes pour la suite.
On trouvera tout d’abord les jambes du trépied. C’est l’élément principal du trépied qui permettra de le faire tenir debout et d’ajuster sa hauteur. Elles peuvent être composées de différents matériaux que nous verrons tout à l’heure.
Le deuxième élément important, c’est la tête du trépied qui viendra se fixer au-dessus des jambes et permettra de fixer par la suite l’appareil photo. Il existe de nombreux modèles de tête que nous verrons également par la suite.
Autre élément, ce sont les pieds du trépied. Ce sont les embouts situés au bout des jambes du trépied et qui seront en contact avec le sol. Il existe des modèles pour l’intérieur et l’extérieur.
Dernier élément qui n’est pas toujours présent sur tous les modèles, c’est la colonne centrale. C’est une jambe supplémentaire qui se positionne au centre du trépied et permet d’élever un peu plus la tête.
Mais un trépied a aussi de nombreux inconvénients comme vous pouvez l’imaginer et c’est important de le savoir avant de faire son premier achat.
Même si nous verrons qu’il existe des solutions pour limiter son poids, un trépied reste un accessoire relativement lourd et qui peut être pénible à transporter si vous avez l’habitude de vous déplacer léger.
Ils peuvent être aussi encombrants.
Même si la majorité des trépieds peuvent se replier, ils prennent tout de même de l’espace et le ranger dans un sac photo n’est pas toujours possible.
Autre point à savoir, c’est qu’aussi perfectionné soit-il, installer son trépied demande un peu de temps. Il faut déjà l’enlever de son sac, écarter et ajuster les jambes, et enfin fixer son appareil.
Je vous partagerai tout à l’heure mes astuces pour gagner un peu de temps.
Il faut savoir aussi que les trépieds ne sont pas forcément autorisés partout. Souvent dans les lieux touristiques très fréquentés il est simplement interdit.
Et enfin, un trépied, comme tout accessoire supplémentaire en photographie, a un coût qui peut être non négligeable. Les bons trépieds les plus abordables coûtent plus de 100 € et les modèles plus haut de gamme peuvent dépasser le millier d’euros.
Sur ce point du tarif, comme je vous l’ai indiqué, il ne faut surtout pas prendre les premiers prix. J’estime qu’un trépied en dessous de 100 € n’aura pas une qualité suffisante et serait plutôt à éviter.
Si à ce stade de la vidéo je ne vous ai pas perdu et que vous êtes toujours intéressé à faire l’acquisition d’un trépied, voici les points importants à considérer.
La première chose à regarder pour choisir votre trépied, c’est la charge maximale qu’il pourra supporter.
Selon le poids du matériel que vous allez utiliser, il faudra prendre un modèle adapté au risque de voir l’ensemble basculer à la première secousse.
Il faudra calculer le poids de votre matériel le plus lourd, c'est-à-dire boîtier, objectif et accessoires éventuels, et prendre une marge de x2 par rapport à la charge maximale du trépied qui est souvent indiquée dans les spécifications.
Il ne faudra pas non plus oublier de regarder la charge maximale que pourra également supporter la tête du trépied.
N’oubliez pas que votre appareil photo coûte une petite fortune, donc il vaut mieux éviter les incidents.
Autre point important à regarder, c’est la hauteur que peut atteindre le trépied. Il s’agit tout d’abord de regarder la hauteur maximale.
On a souvent tendance à penser qu’il faut prendre un trépied ayant la même hauteur que le photographe, mais je dirais qu’il faut plutôt penser aux différentes scènes que vous souhaitez prendre en photo.
Cela ne sert à rien par exemple de prendre un trépied très haut si vous souhaitez faire des photos uniquement au ras du sol, cela vous fera du poids inutile et certainement un tarif plus élevé.
Comme je le disais tout à l’heure, certains trépieds disposent d’une colonne centrale rétractable, cela peut être pratique pour rallonger de quelques centimètres le trépied, mais il faut savoir que cela se fera au détriment de la stabilité.
En plus de la hauteur maximale, il faut aussi penser à regarder la hauteur minimale qu’il peut atteindre.
La plupart des modèles disposent de jambes qu’on va pouvoir écarter pour abaisser la hauteur du trépied, mais ils ne permettent pas tous d’atteindre une hauteur à ras du sol notamment en raison de la présence d’une colonne centrale.
Vous pouvez parfois inverser la colonne pour être au niveau du sol, mais je trouve cela pas toujours pratique, puisqu’il faut tout configurer à l’envers.
Le poids sera un autre critère important à prendre en compte et sera directement impacté par les matériaux utilisés par le trépied.
Selon si vous souhaitez une utilisation nomade ou plutôt sédentaire en studio, le choix risque de ne pas être le même, parce que trimballer un trépied de plusieurs kilos sur le dos peut vite devenir pénible et il risque de rester à la maison la prochaine fois.
Pour gérer ce poids, il y a globalement deux catégories de matériaux, les trépieds en aluminium et les trépieds en carbone.
Les trépieds en aluminium sont ceux qu’on retrouve le plus souvent. Ils offrent un bon compromis entre stabilité, poids et prix.
Les trépieds en carbone quant à eux sont plus robustes, plus stables et aussi plus légers que ceux en aluminium. Ils ont par contre l’inconvénient d’être plus onéreux.
En plus des matériaux qui composent les jambes du trépied, il est important de regarder la matière et la finition des autres éléments comme les raccords ou la tête qui parfois sont en plastique et donc de moins bonne qualité.
En complément du poids, l’encombrement du trépied, c'est-à-dire sa taille une fois replié, sera là aussi un critère qui fera si vous partirez avec lors de vos futures sorties photos.
Pour jouer sur la compacité du trépied, les fabricants jouent en général sur le nombre de sections des jambes.
Il s’agit du nombre de morceaux qui composent chacune des jambes du trépied, sachant qu’ils s'emboîtent l’un dans l’autre.
On retrouve généralement des trépieds entre 3 et 5 sections.
Il faut bien garder à l’esprit que plus il y a de section, plus le trépied sera compact une fois replié, mais il sera aussi moins stable une fois entièrement déployé en raison du diamètre des sections qui sera dans ce cas plus petit.
Donc si la préférence est la stabilité, je recommande tout de même des trépieds avec peu de section mais il faudra en parallèle vérifier la hauteur maximale qu’il pourra atteindre.
Et au contraire, si vous préférez la portabilité pour par exemple le mettre dans un sac de voyage, un trépied à 4 ou 5 sections sera alors celui qu’il vous faut.
Justement, pour ajuster la hauteur des jambes, il existe deux systèmes de serrage : celui à clapet et celui avec les bagues à visser.
Système de serrage à bague à visser
Système de serrage à clapet
Personnellement je trouve que les deux modèles se valent en termes de rapidité même si j’ai maintenant une préférence pour le système à bague qui permet de mieux ajuster la force au niveau du serrage.
Nous arrivons au critère du choix de la tête du trépied qu’on appelle aussi rotule, et là cela va vraiment dépendre de vos attentes et du type de photos que vous souhaitez réaliser.
Il existe différents types de tête pour trépied, avec la plus répandue : la tête de type “rotule ball”.
Tête de type rotule ball
Elle permet grâce à sa molette unique d’ajuster la position de l’appareil dans toutes les directions.
Son principal avantage est de pouvoir faire des réglages rapides mais pas toujours très précis.
C’est pour cela qu’il y a l’autre type de tête, ce sont les rotules 3D.
Tête de type rotule 3D
A la différence des rotules ball, on dispose ici de 3 molettes qui permettent aussi d’ajuster l’appareil dans toutes les directions, mais avec la possibilité grâce à chacune des molettes, d’agir sur un seul axe.
Certes ce n’est pas très rapide mais cela apporte plus de précision sur son cadrage par exemple pour de la photo d’architecture ou de produit.
Autre point, les rotules 3D ont aussi le désavantage d’être plus lourdes que les rotules ball.
Ensuite on va retrouver d’autres types de tête plus spécifiques qui seront réservées à des usages particuliers.
Il y a la rotule pendulaire, qui est souvent utilisée pour la photo animalière ou sportive.
Tête de type rotule pendulaire
Elle permet d’équilibrer son matériel pour une meilleure stabilité tout en permettant une aisance de mouvement.
Elle est lourde et très encombrante et sera réservée aux configurations avec de gros téléobjectifs.
Il y a aussi les rotules panoramique, qui comme son nom l’indique, seront réservés à des usages de panorama.
Tête de type rotule panoramique
Et enfin la tête dédiée pour la vidéo qu’on appelle aussi “rotule fluide".
Tête de type rotule fluide ou vidéo
Elle est facile à reconnaître, puisqu’elle dispose d’une longue poignée qui sert à diriger plus facilement la caméra.
On l’appelle rotule “fluide”, puisqu’elle permet d’effectuer des mouvements panoramiques ou des inclinaisons de façon fluide sans à-coups grâce à un système de friction plus au moins réglable.
Pour tous ces différents modèles, il faudra bien penser à choisir une tête compatible avec le poids de votre matériel.
En parallèle de la tête, il y a aussi le système de fixation rapide qui permet de fixer l’appareil photo sur la tête du trépied.
Vous avez dû remarquer que tous les appareils photo disposent d’un pas de vis standard en dessous du boîtier, celui-ci permet justement de le fixer sur un trépied.
Mais au lieu de le visser de façon définitive sur le trépied, il existe des plaques intermédiaires qui permettront de fixer et détacher plus rapidement l’appareil du trépied.
Plaque de dégagement rapide
On retrouve deux écoles, les plaques propriétaires qui ne seront compatibles qu’avec les modèles de trépieds de la marque ou alors un modèle de plaque plus générique qu’on appelle système “Arca Swiss” qui est aujourd’hui largement utilisé auprès de différents fabricants de trépied.
C’est donc un point important à vérifier, si vous prévoyez d’utiliser votre appareil avec différents modèles de trépied.
Enfin il y a d’autres éléments moins importants mais qui peuvent être très utiles.
On va commencer par la colonne centrale qu’on retrouve pratiquement sur tous les trépieds.
Elle permet de gagner un peu de hauteur, mais attention tout de même à la stabilité.
Mais sur certains modèles, elle peut même basculer, ce qui permet des prises de vue de dessus de type “flat lay”.
Autre petit plus des trépieds, c’est d’avoir des pieds ajustables selon le revêtement du sol.
Par défaut les pieds sont en général en caoutchouc, mais il est souvent possible de les remplacer par des pointes pour obtenir une meilleure accroche sur des terrains moins stables comme du sable ou de la terre.
Certains modèles disposent même de la double fonction et il suffira de tourner les pieds pour faire apparaître les pointes qui sont à l’intérieur.
Enfin quelques petites fonctionnalités, comme le crochet de lestage situé en bas de la colonne centrale afin d’accrocher par exemple un sac à dos pour plus de stabilité du trépied.
Crochet de lestage situé en dessous de la colonne centrale
Ou encore le niveau à bulle qui est pratique pour s’assurer que l’appareil photo est bien à niveau, même si aujourd’hui la majorité des nouveaux appareils photo dispose d’un niveau électronique.
Et enfin, autre fonction que je trouve assez utile, c’est la présence de pas de vis standard ¼” directement sur le trépied. C’est pratique pour fixer des accessoires supplémentaires comme par exemple un moniteur vidéo.
Comme vous avez pu le constater, il est difficile de trouver un trépied qui répond à tous les besoins et c’est pour cela qu’il faudra parfois en avoir plusieurs.
Je vais justement vous montrer maintenant les différents trépieds que j’utilise.
On va commencer par ce mini trépied et son système assez ingénieux.
C’est un peu mon trépied tout terrain qui pourra facilement se ranger dans mon sac et me permettre des prises de vue assez sympa. Il sera par contre limité à de petits objectifs.
Ensuite pour les usages plus courants, ce trépied de taille standard en carbone avec sa rotule ball de la marque K&F Concept.
Je l’utilise souvent à l’extérieur et grâce à sa légèreté il ne sera pas trop contraignant lors de longues sorties photo.
Celui-ci est un trépied un peu différent des autres, puisqu’il ne possède qu’une seule jambe. C’est ce qu’on appelle un monopode.
Je l’utilise principalement pour me soulager les bras lors de longues séances photos au téléobjectif, tout en apportant une meilleure stabilité.
Ce genre de trépied est souvent utilisé en photo sportive ou alors dans les lieux touristiques où le trépied classique est interdit.
Maintenant, mon trépied réservé au studio, le Manfrotto 058B.
Alors là, on oublie tout ce qui est légèreté et compacité puisqu’il est encombrant et très lourd avec plus de 6 kg.
Il est accompagné ici d’une rotule 3D qui apporte de la précision dans les réglages notamment quand je fais de la photo de produit. Avec un modèle comme celui-ci je peux vous assurer que rien ne bouge.
Enfin mon trépied vidéo qui est facile à reconnaître en raison de ses jambes particulières composées de deux tubes et qui sont reliées entre elles. Cela apporte plus de stabilité du trépied lors des mouvements de caméra.
Ce trépied est accompagné d’une rotule spécifique pour la vidéo et dispose d’une poignée qui permet des mouvements fluides grâce notamment aux molettes de réglages de la friction.
Tout à l’heure, je vous disais qu’utiliser un trépied demande un peu de temps d’installation. Mais perso j’utilise cette astuce pour gagner quelques secondes.
Comme la majorité de mes trépieds sont compatibles Arca Swiss, je laisse en permanence sur mes boîtiers un plateau de ce type.
Peak Design Capture
Cela peut être par exemple ce petit plateau de chez Peak Design, qui me permet également d’accrocher mon boîtier à mon sac, ou encore de cette cage de chez SmallRig qui reste en permanence sur mon R6.
Cage SmallRig compatible Arca Swiss
Ainsi je ne perds pas de temps à fixer le plateau à chaque fois et il me suffit de fixer rapidement le boîtier sur le trépied.
Vous l’aurez compris, choisir son trépied demande de vérifier différents critères importants que nous avons pu voir précédemment, et il sera compliqué de trouver un modèle qui cochera toutes les cases et surtout à un prix raisonnable.
S’il s’agit de votre tout premier trépied, je vous conseille de choisir celui qui répond au maximum de vos critères tout en restant dans une tranche de prix inférieur à 150€. Cela vous permettra de tester l’usage d’un trépied, et voir si c’est vraiment un accessoire pertinent par rapport à vos usages.
Par la suite, si le besoin d’un trépied est confirmé, vous pourrez évoluer vers un modèle plus haut de gamme qui vous durera plusieurs années.
Il y a de nombreuses marques de trépied sur le marché, avec les plus connues comme Manfrotto, Gitzo, Vanguard qui proposent des modèles assez variés allant jusqu’au haut de gamme, mais il y a aussi d’autres marques chinoises qui offrent un bon rapport qualité prix comme Neewer ou encore K&F Concept.
Voilà, j’espère que ce guide complet vous aidera à choisir votre trépied idéal. Si vous avez des questions sur les trépieds, vous pouvez les mettre dans les commentaires, je me ferai un plaisir d’y répondre.
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